vendredi 28 janvier 2011

Enraciné, Gaëtan Robin mène sa vie en accord avec ses valeurs


Gaëtan Robin, 42 ans, vit à Rochefort-sur-Loire, sa commune de naissance, avec sa femme et ses trois enfants. Tombé dans la marmite de l’agriculture dès l’enfance,  il s'installe en 1993 sur la ferme familiale. Il est également trésorier de la Coopérative d’utilisation de matériel agricole (CUMA) avec six autres agriculteurs de sa commune.
Soucieux de mettre en place au quotidien des pratiques respectueuses de l’environnement, il entreprend en 2009 de convertir son exploitation de production laitière à l’agriculture biologique.

Son sens civique et du service à la population le pousse à s’engager à 20 ans comme pompier volontaire au centre de Rochefort-sur-Loire ; il y est depuis 12 ans chef de centre.
Motivé par l’action locale — il est conseiller municipal de Rochefort-sur-Loire de 1995 a 2001.

Aujourd’hui, Gaëtan Robin s’engage aux cotés de Stella Dupont, conseillère générale depuis 2004. Il partage avec elle des valeurs de solidarité, de tolérance et une approche humaniste des problèmes du canton.

lundi 24 janvier 2011

Economie, emploi et services publics

La solidarité entre les départements doit passer par l'Etat

Le département de Maine et Loire ne fait pas partie des départements les plus pauvres, ni démographiquement, ni économiquement. Nous sommes dans une bonne moyenne, sans bien sûr faire partie des plus riches.



Les départements avec une population faible, voire avec une population vieillissante et des difficultés économiques, se trouvent dans une impasse budgétaire encore plus forte que nous, puisqu'il est extrêmement difficile de prélever des impôts sur des personnes qui ont des revenus faibles alors même que ce sont ces départements qui ont le plus de dépenses sociales (RSA et APA) à assurer.

L'Etat peut être le seul niveau qui prenne en charge la péréquation qui assurera une redistribution des départements les plus riches tels que les Hauts de Seine vers les départements les plus pauvres.

Si cela n'est pas assuré dans un avenir proche, on peut être certain d'une asphyxie financière des départements les plus pauvres dans un premier temps, suivie d'une désertification encore plus importante de certains territoires.